« Nous sommes multiples à l’intérieur de nous. » … « L’enfant intérieur ou la famille des enfants intérieurs. »
A chaque instant c’est une partie de nous qui sent, ressent ou initie l’action…
Pourquoi cette énergie de l’enfant intérieur est-elle toujours là quel que soit notre âge ?
L’enfant vivant (celui qui aime jouer, celui qui a besoin de lien, celui qui aime la nature…) est unique et est souvent abandonné. Nous portons une famille d’enfants vivants.
Quand nous naissons, nous apparaissons comme un être de besoins qui nécessitent d’être nourris. Si ces besoins (physiques, affectifs, intellectuels, émotionnels…) ne sont pas nourris, la douleur, le traumatisme s’installent. Apparaît alors l’enfant blessé.
Douleurs et traumatismes trouvent leurs origines soit au sein de la famille dans laquelle nous avons grandi, soit au contact d’événements extérieurs.
L’enfant blessé, c’est quand le vivant ne peut plus s’épanouir ; lorsque le vivant n’est plus nourri.
Le jeune enfant met alors en place de « l’adaptation » pour tenter de nourrir ses besoins. Il s’agit de la famille des enfants adaptés. Ce sont ceux qui portent un masque ; ceux qui vont exagérer une tendance pour éviter le renouvellement de la souffrance, ou pour chercher à recevoir ce qu’ils ne peuvent pas recevoir de manière naturelle.
Nos comportements actuels sont souvent adaptés et nous allons, à travers les séances, rencontrer ces enfants adaptés afin de leur proposer de prendre le relais en les rassurant car « papa et maman » aujourd’hui, ne sont plus là. Nous expliquons tout cela à l’enfant adapté jusqu’à ce que nous puissions arriver à l’enfant blessé – le but ultime étant d’aller retrouver l’enfant vivant.
S’il y a la famille des enfants intérieurs, il y a la famille des parents intérieurs – on ne peut pas vivre qu’avec ses parties enfants ; il y a des parties qui vont se « parentifier » – on a besoin de construire ses parties parentales – ce sont ces parents qui vont s’occuper de nos enfants intérieurs.
Nous construisons souvent nos parties parentales en écho au modèle des parents que l’on a eus – il s’agira alors de devenir conscient « du genre de parents » que je suis pour moi-même.
Entre en jeu alors, le « comment je me connais « et « comment je vais m’apporter ce dont mon vivant a besoin ».
L’objectif d’un travail sur l’enfant intérieur, c’est de vous aider à retraverser ces couches, de l’enfant adapté à l’enfant vivant.
Je vous accompagne à traverser la blessure pour aller retrouver cette énergie vivante avec :
Séance : 2h, 100 euros